Deux cadres d’une grande entreprise qui se suicident en l’espace de quelques jours, le scénario est, hélas, connu.
Si ce n’est que, cette fois, la grande entreprise en question n’est ni Renault ni France Télécom, mais La Poste. Les faits, survenus le 23 février et le 11 mars derniers, ont provoqué une onde de choc, les syndicats dénonçant les effets toxiques d’une mutation brutale et à marche forcée, la direction promettant “des ajustements”, et les spécialistes des risques psychosociaux rappelant la dangerosité du stress et de la souffrance au travail.
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